L’eveil et la culture entrepreneurials innovants integres dans « le systeme tchoundja », antidote au chomage et a la pauvrete

Monsieur le Professeur BELA Cyrille Bienvenue, Doyen de la Faculté des Sciences de l’Education a ouvert cette conférence par les règles de  civilité usuelles. Il a souligné que c’est un honneur pour l’établissement de recevoir le Dr Joseph TCHOUNDJA, Enseignant dans plusieurs disciplines, Entrepreneur, Conférencier et Développeur du « Système TCHOUNDJA ». Pour le Doyen, cette conférence est d’une importance capitale non seulement pour les étudiants, mais aussi pour le reste de la communauté universitaire. Car, elle essaie de faire le lien entre la formation académique et les exigences du monde du travail.Le conférencier prendra la parole et commencera par remercier Monsieur le Recteur de l’Université de Yaoundé I, Monsieur le Doyen de la FSE et son équipe de lui avoir donné l’opportunité de prononcer cette conférence qui est le fruit de nombreuses années de travail, couronnées par la mise en place du «système TCHOUNDJA ». En effet, passionné par les problèmes de l’intelligence économique et en s’appuyant sur les ODD, le conférencier s’est penché particulièrement sur deux problèmes majeurs qui minent la jeunesse africaine et qui entrainent les problèmes de la mal gouvernance: la pauvreté et le chômage.

Par la suite, Monsieur le conférencier a expliqué le « système TCHOUNDJA » à partir d’un socle granitique en 03 grandes phases : la première phase est axée sur un cadre conceptuel qui passe en revue les notions de pauvreté, de chômage, de mal gouvernance, etc. La deuxième phase concerne la présentation des concepts de l’éveil et culture entrepreneuriale intégrés dans son système comme antidote au chômage, à la pauvreté et à l’amélioration de la gouvernance. La troisième phase est résumée en esquisse de solution notamment par la présentation d’un business plan. Pour le conférencier, ce sont la création des richesses et d’emploi qui vont générer la bonne gouvernance. De façon pratique, c’est la recherche et l’intelligence financière qui bloquent souvent la jeunesse africaine. Monsieur le conférencier a souligné pour le citer que: « quand un homme pose les problèmes, il cherche les solutions ».  D’où, la nécessité de cultiver une certaine confiance en soi-même et surtout de dégager une pensée positive.

Après le déroulé de l’exposé du conférencier, place a été donnée à la phase des contributions et questions-réponses. L’assistance voulait entre autre savoir l’impact de la culture sur l’esprit d’entreprise ? La posologie du «système TCHOUNDJA » ? Les techniques que propose le «système TCHOUNDJA » pour accéder aux ressources financières ? En guise de réponse à ces différentes préoccupations, le conférencier a dit que son système répondait à toutes ces préoccupations selon les différentes phases développées par celui-ci. Il rappelle à cet effet que la présentation faite lors de sa communication n’a abordé que succinctement les écrits y relatives qui avoisinent environ 3000 pages. Il invite de ce fait les uns et les autres à les consulter.

En définitive, Monsieur le Doyen de la FSE exprime une fois de plus sa gratitude et sa satisfaction pour la qualité et la pertinence de l’exposé du conférencier. Il le rassure que les portes de son établissement lui sont grandement ouvertes pour d’autres interventions dans un future proche.